Abandonné, lié de toutes parts d’entraves,
Sur le rivage mort où je suis exilé,
Je n’apercevais plus, partout, que mes épaves.
Mon Dieu, venez remplir ce néant désolé !
Louis le Cardonnel
Abandonné, lié de toutes parts d’entraves,
Sur le rivage mort où je suis exilé,
Je n’apercevais plus, partout, que mes épaves.
Mon Dieu, venez remplir ce néant désolé !
Louis le Cardonnel